L'été s'éloigne sérieusement et il était de faire la deuxième partie de ce billet avant que le souvenir des heures passées sur un transat à bouquiner se fasse trop douloureux.
Romance nerveuse de Camille Laurens. Je commence par ce que j’ai le moins aimé. J’ai pas avec le style , trop « décousu » à mon goût. Les phrases qui font la moitié d’une page, très peu pour moi. Et l’histoire, bof… Au milieu du récit d’une passion destructrice, l’auteur règle ses comptes avec son éditeur et Marie Darrieussecq sur l’affaire de plagiat qui les oppose. Pas grand intérêt…
Malavita encore de Tonino Benacquista. Je m’étais régalé avec le premier tome des aventures de cette famille américaine. Le père, ancien capo de la mafia, a choisi de donner tous ses anciens « collègues » plutôt que de finir sa vie en taule. Il est désormais protégé, avec toute sa famille, par le FBI qui les cache en France. Après « les sopranos en Normandie » dans Malavita, nous les retrouvons cette fois en Provence. Sa femme et ses deux enfants poursuivent leur intégration dans la société française en essayant d’oublier leur lourd passé et notre repenti reconverti en écrivain se sent assez seul. Mais lorsque des problèmes du quotidien viennent troubler leur tranquilité, les bonnes vieilles habitudes mafieuses reprennent le dessus. Un peu moins bien que le premier volet mais on passe quand même un bon moment !
Le lièvre de Vatanen d'Arto Paasilina. Vatanen est un journaliste fatigué de sa vie à la ville avec une femme qu’il n’aime plus. Il va heurter avec sa voiture un lièvre qui va changer sa vie. Il le soigne et l’adopte et entreprend de traverser la Finlande avec son nouveau compagnon. C’est souvent drôle et loufoque mais aussi émouvant de suivre toute la remise en question de cet homme en pleine crise existentielle. J’ai lu quelque part qu’Arto Paasilina avait inventé le roman d’humour écologique et c’est exactement ça. Ca m’a donné envie d’en lire d’autres.
L’odyssée américaine de Jim Harrisson J’ai pas fait exprès, mais c’est encore l’histoire d’un homme en crise qui décide de voyager pour faire un point avec lui-même. Cliff parcourt les Etats-Unis après s’être fait plaquer par sa femme à 60 ans et avoir dû revendre sa ferme. C’est assez léger et on passe un bon moment à tracer la route avec Cliff !
Je commence les visages de Jesse Kellerman. J’avais envie d’un bon thriller et je sens que je vais être servie.
Et demain, on parle concert à venir ce week-end à Paris!
Romance nerveuse de Camille Laurens. Je commence par ce que j’ai le moins aimé. J’ai pas avec le style , trop « décousu » à mon goût. Les phrases qui font la moitié d’une page, très peu pour moi. Et l’histoire, bof… Au milieu du récit d’une passion destructrice, l’auteur règle ses comptes avec son éditeur et Marie Darrieussecq sur l’affaire de plagiat qui les oppose. Pas grand intérêt…
Malavita encore de Tonino Benacquista. Je m’étais régalé avec le premier tome des aventures de cette famille américaine. Le père, ancien capo de la mafia, a choisi de donner tous ses anciens « collègues » plutôt que de finir sa vie en taule. Il est désormais protégé, avec toute sa famille, par le FBI qui les cache en France. Après « les sopranos en Normandie » dans Malavita, nous les retrouvons cette fois en Provence. Sa femme et ses deux enfants poursuivent leur intégration dans la société française en essayant d’oublier leur lourd passé et notre repenti reconverti en écrivain se sent assez seul. Mais lorsque des problèmes du quotidien viennent troubler leur tranquilité, les bonnes vieilles habitudes mafieuses reprennent le dessus. Un peu moins bien que le premier volet mais on passe quand même un bon moment !
Le lièvre de Vatanen d'Arto Paasilina. Vatanen est un journaliste fatigué de sa vie à la ville avec une femme qu’il n’aime plus. Il va heurter avec sa voiture un lièvre qui va changer sa vie. Il le soigne et l’adopte et entreprend de traverser la Finlande avec son nouveau compagnon. C’est souvent drôle et loufoque mais aussi émouvant de suivre toute la remise en question de cet homme en pleine crise existentielle. J’ai lu quelque part qu’Arto Paasilina avait inventé le roman d’humour écologique et c’est exactement ça. Ca m’a donné envie d’en lire d’autres.
L’odyssée américaine de Jim Harrisson J’ai pas fait exprès, mais c’est encore l’histoire d’un homme en crise qui décide de voyager pour faire un point avec lui-même. Cliff parcourt les Etats-Unis après s’être fait plaquer par sa femme à 60 ans et avoir dû revendre sa ferme. C’est assez léger et on passe un bon moment à tracer la route avec Cliff !
Je commence les visages de Jesse Kellerman. J’avais envie d’un bon thriller et je sens que je vais être servie.
Et demain, on parle concert à venir ce week-end à Paris!
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